C'était une nuit sans lune, un étrange personnage sortit d'un gouffre dit sans fond dont la légende disait qu'il menait aux enfers. Cet étrange personnage, encapuchonné dans une longue cape noir d'une profonde noirceur, errait jusqu'à trouver un vieux sentier abandonner depuis des siècles à cause de cette maudite légende; dès qu'il arriva dans le village fantôme des loups commencèrent à le poursuivre mais il fit volte -face et les loups parurent effrayés et sont partis sans demander leurs reste comme s'ils avaient vu leurs propres morts. Ce mystérieux individu repartit sur la route qui avait l'air d'être de moins en moins abandonnée; il était porteur d'un message de la plus haute importance que lui avait donné son chef de la part d'Hadès le maître des enfers. Il arriva enfin à une cité remplie d'Anges, il les regarda avec méfiance tout en ralentissant le pas. On pouvait deviner qu'il gardait sous son long vêtement 2 sabres, son visage était caché dans l'ombre de son capuchon; on ne pouvait distinguer que sa silhouette, il aurait put passer inaperçus tel une ombre s'il ne marchait pas au milieu des longues avenues de la cité. Il arriva enfin devant un bâtiment orné de drapeaux, il entra calmement, l'air sur de lui.
Une fois arrivé dans cette bâtisse il sortit ses deux sabres, interrompant ainsi les occupations des Anges qui travaillaient en ces lieux, un instant ils prirent peur mais cet individu arquât ses bras puis d'un geste vif les planta dans la table la plus proche puis laissant ses armes s'inclina puis il sortit de sa cape,tout en faisant en sorte que l'on ne le voit pas lui, une lettre orné d'or qui était enveloppé dans un grossier chiffon puis après avoir finit sa révérence commença à lire :
J'ai un message pour vous de la part de mon maître, il vous demanderez de bien lui créer une ambassade à condition que ce soit dans le plus grand secret; il peut vous offrir mille trésor et un passage vers le monde des enfers vous permettant de discuter directement avec lui, chose qu'il n'accorde qu'à peu de monde, lui aussi méprise les êtres du monde de la surface.